La saison des apéritifs qui se prolongent bat son plein et, ballon rond oblige, on en a un peu assez des chips et des cacahuètes qui ont de gras tout ce qu’elles n’ont pas de nutritionnel. Et puis il fait beau, il fait chaud, on a besoin d’un peu de fraîcheur en bouche, de saveurs du sud, de crépitements gustatifs qui sentent bon la cigale. Non ? Nous ne vous ferons pas avaler de cigales, rassurez-vous, mais puisqu’on entre dangereusement dans la saison de la tomate pleine terre, de celle qui a du goût et qui rappelle à nos palais qu’elle nous a tragiquement manqué depuis l’an dernier… pas question de faire un repas sans elle ! Nous vous proposons une recette simplissime et délicieuse de bruschetta, bruschette au pluriel, pour vos tables apéritives ou pour agrémenter vos salades, par exemple.
Bruschetta, bruschette : la recette
Préférez des tomates de petit calibre qui seront plus fortes en saveurs et plus faciles à vider de leur jus. N’hésitez pas à faire mariner votre préparation au frais avant de la disposer sur du pain grillé (mais pas trop). Vous pouvez même la faire la veille. Quant au pain, laissez libre cours à votre imagination. Blanc, complet, aux graines, aux olives, la tomate ne fait pas de discrimination… Ah ! Dernière chose. Salez uniquement au moment de servir pour ne pas avoir trop d’eau dans votre préparation. Ne lésinez pas sur la fleur de sel. Et sur l’huile ! Il n’y a que ça de vrai (devons-nous encore répéter que le gras c’est la vie ?).
Les variations peuvent ensuite se multiplier selon les goûts et les envies. Avec ou sans jambon cru, mozzarella, olives ou anchois. En passant par le grill du four ou pas. Avec des amis ou seul, petit plaisir en tête à tête avec soi-même. Et les tomates du marché. Quelle que soit votre recette de bruschette, si vous choisissez des produits de qualité, ça sera obligatoirement à s’en relever la nuit. Et le jour aussi.
Au cas où, mais avec la conviction que nous prêchons des convaincus et des convertis, n’oubliez pas d’accompagner ces délices d’un vin frais et savoureux. Pourquoi pas le Serenae de Cédric Delacquis ?
ENJOY !